Sa place principale, plaza Mayor
Il pleut toujours ici !!!
À Cuba, internet privé n’existe pas encore. On ne peut bénéficier du wifi que sur les places publiques grâce à des cartes prépayées.
Le lendemain, le retour à La Havane est un vrai parcours du combattant ! L’autoroute est toujours inondée et donc fermée. On prend la route qui longe la mer après Cienfuegos, c’est un détour de 50 km, ça va. Mais on se retrouve devant plusieurs rivières qui ont débordé sur la route !
Arrive un endroit où plusieurs voitures sont arrêtées. Là, le niveau de l’eau est vraiment haut. Les taxis hésitent, les touristes sont désemparés.
Sur un bon kilomètre, il y a plus de 50 cm d’eau.
Pas de problème pour les voitures hautes, encore que... mais notre petite 405 risque de se prendre de l’eau dans le moteur.
Notre chauffeur est jeune et dynamique, il souhaite quand même y aller. Ses collègues le calment. On attend un bon quart d’heure en observant les véhicules qui passent, et on en voit finalement deux petits téméraires qui arrivent à bon port. Banco ! C’est le signal du départ général ! Les touristes traverseront à pied pour alléger les voitures.
Les voitures nous éclaboussent au passage !
Les paysages sont tous noyés sous l’eau, des ares et des ares de champs inondés... C’est la conséquence de ce déluge de plus de 24h après le passage de la dépression tropicale Alberto.
Il pleut toujours ici !!!
À Cuba, internet privé n’existe pas encore. On ne peut bénéficier du wifi que sur les places publiques grâce à des cartes prépayées.
Voici la place internet de Trinidad, à côté de l’église. Il y a surtout des touristes...
Les seules voitures ici, ce sont les taxis. Il y a très peu d’autos particulières car leur prix est inaccessible pour la plupart des Cubains. Alors on utilise les chevaux...
Vue de la terrasse de notre casa particular. C’est vraiment bouché... Va-t-on pouvoir partir le lendemain ?
Une éclaircie en soirée, tout le monde se retrouve au café des escaliers internet. On se croirait sur une place du sud de la France sous les platanes, la musique cubaine en plus.
Les seules voitures ici, ce sont les taxis. Il y a très peu d’autos particulières car leur prix est inaccessible pour la plupart des Cubains. Alors on utilise les chevaux...
Vue de la terrasse de notre casa particular. C’est vraiment bouché... Va-t-on pouvoir partir le lendemain ?
Une éclaircie en soirée, tout le monde se retrouve au café des escaliers internet. On se croirait sur une place du sud de la France sous les platanes, la musique cubaine en plus.
Le lendemain, le retour à La Havane est un vrai parcours du combattant ! L’autoroute est toujours inondée et donc fermée. On prend la route qui longe la mer après Cienfuegos, c’est un détour de 50 km, ça va. Mais on se retrouve devant plusieurs rivières qui ont débordé sur la route !
Pour la plupart, bon, c’est un peu limite, mais on passe. C’est quand même impressionnant. Les bus, eux, sont suffisamment hauts.
Arrive un endroit où plusieurs voitures sont arrêtées. Là, le niveau de l’eau est vraiment haut. Les taxis hésitent, les touristes sont désemparés.
Sur un bon kilomètre, il y a plus de 50 cm d’eau.
Pas de problème pour les voitures hautes, encore que... mais notre petite 405 risque de se prendre de l’eau dans le moteur.
Notre chauffeur est jeune et dynamique, il souhaite quand même y aller. Ses collègues le calment. On attend un bon quart d’heure en observant les véhicules qui passent, et on en voit finalement deux petits téméraires qui arrivent à bon port. Banco ! C’est le signal du départ général ! Les touristes traverseront à pied pour alléger les voitures.
Les voitures nous éclaboussent au passage !
Les paysages sont tous noyés sous l’eau, des ares et des ares de champs inondés... C’est la conséquence de ce déluge de plus de 24h après le passage de la dépression tropicale Alberto.
On ne mettra que 2 heures de plus pour arriver à La Havane ! (6 au lieu de 4)