Après une navigation sans vent, alors qu'il était prévu au portant, arrivée en vue de Gibraltar dans la brume
La traversée a été sans brouillard, le courant était avec nous, on avait une bonne vraie houle de travers (du coup Alphonse pas très bien a roupillé toute la matinée).
En arrivant sur le Rocher, alors qu'il n'y avait pas de vent, le tube d'arrivée du gazoil s'est bouché. Grand moment de solitude lorsque Cyril avait le nez dans le moteur à tout démonter pour déboucher le tuyau et que je devais lutter contre les vagues et le courant, sans vent pour m'aider. En fait je ne pouvais pas faire grand chose à part hurler si on s'approchait trop des cargos mouillés, ce qui n'est heureusement pas arrivé.
On passe près quand même. Mais le moteur était réparé à ce moment-là. Ouf
(On ne le voit pas sur les photos, mais il y avait de grosses vagues !)
Nous voilà à La Linea. Pour ceux qui l'ont vu, c'est la ville où Guillaume (de Guillaume et les enfants, à table !) apprend à danser le flamenco. C'est la ville frontière de Gibraltar.
On a donc déjà été au square
Et picoré des tapas
Ce qui est sympa ici, c'est qu'au ponton, tous les bateaux se préparent à traverser.
On a retrouvé nos copains suisses Urs et Christine de Carthagène, et Alphonse a joué toute la soirée avec les enfants du cata d'à côté, Sev'on the Sea, des Français (Sandrine et Jean-Pierre les parents) qui partent malheureusement demain-matin à Madère et comptent aller jusqu'à New York. Une autre famille d'un autre cata était à leur bord et partent aussi demain-matin aux Canaries. On rate une fenêtre là...
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