samedi 30 juillet 2016

Palomino, entre mer et montagne

Afin d'échapper à la foule déchaînée et surtout à la musique à plein tube jour et nuit de la fiesta del mar à Santa Marta, nous avons pris un bus pour Palomino, de l'autre côté du parc Tayrona. Palomino est un petit village en terre battue traversé par le "troncal del Caribe", la route qui va jusqu'au Venezuela. D'un côté, la mer dans laquelle se jette la rivière du même nom, et de l'autre la montagne...


Chemin qui longe la rivière vers la plage

 

 

Arrivés à la plage, un super boui boui nous tend les bras. Au menu, poisson frais, mais frit...

 

 

La cuisine...

Une petite fille fait la sieste !

 

L'embouchure du rio

 

 

 

 

Une rue du village

 

 

 

Notre hostel

 

Et le copain d'Alphonse

 

 

Un chaton adorable qu'il a eu beaucoup de mal à quitter...

 

Nous avons aussi fait une balade magnifique dans la jungle avec une vue imprenable sur le pico Colon enneigé. Aucune photo car nous avons remonté la rivière pour la redescendre en bouée !!! Et ça mouille... On a adoré et la montée dans la montagne et la descente en bouée dans l'eau bien fraîche à l'ombre des arbres gigantesques de la jungle (2 h de descente quand même !)

 




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vendredi 29 juillet 2016

Chocosanas au Sud et Cyclones au Nord...

Article de Monsieur C, corrigé par Madame K

Nous sommes presque chez nous à Santa Marta après y avoir passé plus d'un mois l'année dernière et maintenant quelques semaines. Le clou de la journée est d'aller chez Carulla faire les courses ou au Buena Vista Mall à l'espace jeux pour Alphonse... car dans les deux cas il y a la clim et à 14:00 c'est bouillant!

Notre programme de cette saison est bien défini (Colombie, Panama, Costa Rica, Nicaragua, Honduras, Guatemala) mais la saison ne s'y prête pas encore. Car ici c'est la saison des pluies. Naturellement le problème ce n'est pas la pluie en elle-même mais ce qui va avec : orages et éclairs (pas au chocolat) bibliques. A Cartagena on appelle ça avec affection les "Culo de Pollo" et aux San Blas au Panama c'est les "Chocosanas" (encore une fois pas au chocolat). Le vent monte soudain à 30-50 noeuds et de la direction opposée d'où il vient habituellement... Ce qui se traduit par un grand risque de déraper (l'ancre ne tient plus) ou de recevoir la foudre sur le bateau. Top!

Naturellement on pourrait monter au nord (Jamaique) pour sortir de ce risque mais c'est en pleine zone cyclonique et au plus haut de la saison. Car l'avantage de la zone où nous voulons aller est d'être hors zone cyclonique. Le risque pluie et cyclone est au plus haut pendant août - septembre. Il nous reste aussi le choix de ne pas bouger du tout pendant le mois d'août car aucun de ces risques n'existent à Santa Marta. Donc il nous reste Carulla et Buena Vista pour quelques semaines encore...

 

 




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mercredi 27 juillet 2016

Liber Video




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Santa Marta Santa Marta...

Mercredi 27 juillet

Voilà deux semaines que nous sommes à Santa Marta, et le bateau est bien à l'eau (non sans de grosses émotions, le type qui conduisait le travelift n'avait pas l'air de savoir ce qu'il faisait !)

On a tout rangé, tout nettoyé - le bateau était couvert de poudre de charbon (il y a de grosses mines dans la région et le charbon est chargé sur les cargos dans le port commercial juste à côté, au vent) - et tout préparé pour notre départ.



Maintenant, on attend que les pluies et les orages de la saison des pluies, qui sévit plus au sud (là où on va), se calment un peu. Il nous fait aussi une petite accalmie du vent qui est en permanence prévu pour min. 25 nœuds, soit en réalité 35...

 

Alors on va au "centre récréationnel " des militaires, sorte de club de vacances pour les militaires avec piscine, plage (très sympa), restaurant et bar, ainsi que des bungalows pour les vacanciers. La marina a un accord avec eux.

 

Alphonse pédale dans la marina et a commencé le Cned.

 

On profite de la salle des capitaines, climatisée et avec wifi.

 


C'est devenu notre salon car on est pratiquement les seuls voyageurs dans la marina ! On est en basse saison, et le Cabo de la Vela qu'il faut passer pour arriver ici est très peu praticable en ce moment (il est surnommé le petit cap horn). Il y a un couple d'Allemands, très sympa, qui va passer ici toute la saison des pluies, un Américain fantomatique, et quelques voiliers qui attendent leur équipage. Sinon, ce sont les marins des bateaux à moteur colombiens, qui passent leur journée à astiquer pour leur patron et sa famille le week-end ou pour des hordes qui font la fête (alcool et musique à plein tube en plein jour !) devant les belles plages du coin.

La marina est très animée, avec concours du bateau qui a le plus de watts, ou bar du coin qui met la musique très fort jusqu'à 1h ou 3h... ou club de gym dont les cours de body combat et de zumba ont lieu le matin à 6h en terrasse sur la marina ! Vivent les boules Quies ! Et pour couronner le tout, la grande fiesta del mar de Santa Marta commence demain pour 4 jours de réjouissances. Nous avons ainsi déjà eu l'occasion de tester le week-end dernier la puissance de la sono mise en place pour l'occasion le long de la plage, à quelques centaines de mètres de notre bateau, et déjà inaugurée pour des concerts. À couper le souffle !

On part demain en cure de silence...

 




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mercredi 13 juillet 2016

La famille On The Road Video




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lundi 11 juillet 2016

Camino real de Guane

Autrefois utilisé par les Indien, l'ancien chemin royal qui relie Barichara à Guane est pavé de grosses pierres sur 9 km. 
De bonne heure ce matin, nous avons descendu ce superbe chemin après avoir laissé Alphonse à l'hôtel (il avait un peu de fièvre). 

Le début du chemin, à droite


Un joli portail en chemin 

Et Guane, très joli petit village



 La place principale


Et voici notre bus de retour pour San Gil, où on prendra un bus pour Bucaramanga. De là on prendra un avion pour Santa Marta demain matin. 
Notre voyage dans les terres est malheureusement fini. 







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Guane Video




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Barichara, un autre joyau colonial

A 200 km au nord de Villa de Leyva, Barichara a été construite au XVIIIeme siècle et a été très préservée par ses habitants. Avec ses rues qui montent (et descendent !) de pierre ocre et ses toits de la même couleur, le village dégage un charme fou. 












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dimanche 10 juillet 2016

Barichara Video




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Villa de Leyva, superbe ville coloniale

Villa de Leyva, à 200 km au nord de Bogotà, a été fondée au XVIeme siècle. Les rues sont pavées de gros cailloux ronds, les maisons sont blanches et basses avec des toits en tuile et des portes en pierre blonde ou en bois peint, et tout le centre a conservé son authenticité malgré les boutiques de touristes. Nous avons été séduits par cette paisible ville de province, après un voyage depuis la région du café de 11heures, et 10 moyens de transport : 2 taxis, un avion et 7 bus !!! On était contents d'arriver !!!






La plaza Mayor


C'est aussi très beau la nuit


Boui boui le soir crevés, les enfants sont fascinés par la télévision au-dessus de ma tête !

Balade au-dessus de la ville



Le superbe marché samedi matin avant de partir



Alphonse plus reposé !




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